
Déconstruire les mythes et les préjugés pour sortir de l’impasse… L’UPJB accueille Michel Staszewski pour une conférence-débat à l’occasion de la sortie de son livre.
Contrairement à une opinion très répandue, le conflit opposant Palestinien·es et Israélien·es, ainsi que sa très longue durée sont tout à fait explicables.
Mais pour y voir clair, il est nécessaire d’en parcourir l’histoire, d’en revenir aux faits et de démonter les mythes et préjugés qui empêchent de comprendre l’impasse dans laquelle Israélien·nes et Palestinien·nes restent enfermé·es. C’est à ce prix qu’une fin heureuse à ce drame interminable pourra être entrevue.
Professeur d’histoire, historien et militant indéfectible depuis plus de cinquante ans pour une paix juste entre Palestinien·nes et Israélien·nes, Michel Staszewski vient de publier Palestiniens et Israéliens. Dire l’histoire, déconstruire mythes et préjugés entrevoir demain aux éditions du Cerisier.
Le débat sera animé par Youri Mora, membre de la commission Israël/Palestine de l’UPJB.
Le livre sera en vente à l’UPJB.
Retrouvez l’évènement sur Facebook et sur le site de l’UPJB.

Le FIFF (Festival International du Film Francophone de Namur), dans le cadre de ses séances aux thématiques citoyennes et engagées, présentera le film documentaire un divan sur la colline en présence du réalisateur François Ducat.
Un divan sur la colline :
Ala’, Ibrahim (15 ans) et Bara’a (19 ans), vivent à Battir, une commune rurale de 5000 habitants au sud de Jérusalem. Majoritairement sous contrôle israélien, son statut est unique en Cisjordanie. Protégé par l’UNESCO, son territoire est resté le même depuis 1947 et le mur de séparation israélien y a été annulé par décision de justice. Battir doit ces victoires à une résistance pacifique transmise de générations en générations. Malgré ces acquis exceptionnels, les jeunes espèrent partir étudier à l’étranger. Ici, ils redoutent la précarité et le chômage, autant de maux qui trouvent leur origine dans une occupation qui multiplie les interdits. Sur plusieurs années, le film saisit cette jeunesse palestinienne dans un moment-clé de son évolution et montre que derrière le quotidien de cette communauté apparemment épargnée par le conflit, se cache en réalité un combat contre l’exil, le désespoir, la drogue et la confiscation des terres.
Plus d’informations sur le site du FIFF : https://www.fiff.be/films/un-divan-sur-la-colline/12781#:~:text=Dans%20le%20petit%20village%20de,interdits%20et%20de%20r%C3%AAves%20impossibles.
HOPE asbl vous convie à un évènement musical et artistique autour d’un buffet palestinien.
Bienvenue à la salle “notre maison”, 26 Place des Tilleuls à 5004 Bouge (Namur).
Rappelons que l’Asbl HOPE a pour objet de récolter des fonds pour financer les études supérieures d’étudiant.e. s en Palestine. La culture, l’éducation, les apprentissages, la pratique musicale, les approches de soins de santé et communautaires ont une fonction de grande importance et de résilience pour la jeunesse palestinienne, surtout de nos jours.
Au programme de cette soirée :
18h30 Accueil et brève introduction de l’actualité des actions HOPE.
Apéro en musique par Razek Badra, musicien et chanteur oriental, belgo-syrien qui a participé à des festivals et des concerts en Moyen Orient et en Belgique.
Repas palestinien : Poulet farci aux herbes, ail, piments, petites pommes de terre préparé par l’équipe des ateliers du Perron de l’Ilon de Namur.
En dessert, biscuits palestiniens préparation Mona et Darine.
Projection des photographies de l’artiste et photographe François Struzik par lui-même autour de plusieurs séries documentaires réalisées en Territoire Palestinien et en Palestine occupée. En question : des préoccupations et thématiques incessantes et actuelles.
Prix : 35 € par personne (apéro, eau et thé inclus)
Autres boissons (vins, bière et jus, à payer sur place).
Réservation avant le 3 octobre 23 par virement sur le compte BE45 0015 1107 4989 de HOPE, avec la communication : Repas Bouge 06/10/23 + le nombre de convives
Pour toutes infos complémentaires, veuillez contacter Colette Godfrin, membre du Conseil d’Administration de HOPE, au 0474/720045 ou par mail (colette.godfrin@gmail.com).

La bande de Gaza a subi de manière ininterrompue l’occupation et la colonisation israélienne de 1967 à 2005. Enfermées dans ce territoire de 365 km2, y (sur)vivent actuellement 2 300 000 personnes, parmi lesquelles 70% sont des exilé·es de 1948 ou leurs descendants.
Depuis le départ des colons, ses habitant·es palestinien·nes sont victimes d’un blocus d’une sévérité inouïe qui leur fait manquer de biens essentiels : eau potable, nourriture, médicaments, électricité,… Ce blocus et les fréquentes attaques dévastatrices de l’armée israélienne ont détruit son économie, de telle sorte que la majorité de cette population ne survit que grâce à l’aide humanitaire internationale.
La soirée sera introduite par un reportage d’Arte Gaza : looking for Mouna (26’, Barbara Lohr, 2014).
Nous écouterons ensuite le témoignage de notre invitée, Nermin Hwaihi, réfugiée palestinienne de Gaza établie en Belgique depuis 4 ans. Diplômée de l’Université Al-Aqsa, Nermin est professeure d’anglais. Elle a travaillé avec des ONG en Palestine, se concentrant sur le développement communautaire et l’engagement politique. Elle est l’une des cofondatrices du mouvement des réfugiés palestiniens en Belgique.
Le débat sera animé et modéré par Mélanie Hostaux. Elle a étudié le droit et les sciences de la population et du développement pour ensuite travailler pour l’Agence Fedasil et l’ONG Solsoc. Elle milite pour les droits des Palestinien·nes depuis plus de 15 ans. Elle a séjourné plusieurs fois en Palestine où elle a appris l’arabe et y accompagne des groupes qui veulent découvrir et comprendre la situation.
Tarifs : 6€ – 4€ (membres) – 8€ (prix de soutien) – 2€ (réduit)

L’État d’Israël occupe et colonise le territoire palestinien conquis par la force depuis 56 ans et discrimine gravement les Palestiniens, même ceux qui disposent de la citoyenneté israélienne.
Après la Commission économique et sociale des Nations unies pour l’Asie Occidentale (CESAO), l’ONG israélienne B’Tselem et l’ONG Human Rights Watch, Amnesty International a publié un rapport qui parvient à la même conclusion : l’État d’Israël a instauré un régime d’apartheid. Ce rapport établit que tous les Palestiniens sont à des degrés divers victimes de cet apartheid. Il est temps qu’Israël se conforme aux règles du droit international, aucune nation ne peut continuer à agir en toute impunité sans réaction de ses paires !
Depuis plusieurs années, nous nous réunissons chaque deuxième vendredi du mois devant l’ambassade israélienne pour continuer à soutenir le peuple palestinien et protester contre l’impunité dont bénéficie Israël.

Animation : Baudouin Loos
Animation : Francine Bolle
Animation : Grégory Mauzé
Esther Benbassa, Sylvain Cypel et Alain Gresh
Animation : Henri Goldman
Nous contacter : institut.liebman@ulb.be

L’État d’Israël occupe et colonise le territoire palestinien conquis par la force depuis 56 ans et discrimine gravement les Palestiniens, même ceux qui disposent de la citoyenneté israélienne.
Après la Commission économique et sociale des Nations unies pour l’Asie Occidentale (CESAO), l’ONG israélienne B’Tselem et l’ONG Human Rights Watch, Amnesty International a publié un rapport qui parvient à la même conclusion : l’État d’Israël a instauré un régime d’apartheid. Ce rapport établit que tous les Palestiniens sont à des degrés divers victimes de cet apartheid. Il est temps qu’Israël se conforme aux règles du droit international, aucune nation ne peut continuer à agir en toute impunité sans réaction de ses paires !
Depuis plusieurs années, nous nous réunissons chaque deuxième vendredi du mois devant l’ambassade israélienne pour continuer à soutenir le peuple palestinien et protester contre l’impunité dont bénéficie Israël.
“Europe-Palestine : comment agit l’U.E. ?”

L’État d’Israël occupe et colonise le territoire palestinien conquis par la force depuis 56 ans et discrimine gravement les Palestiniens, même ceux qui disposent de la citoyenneté israélienne.
Après la Commission économique et sociale des Nations unies pour l’Asie Occidentale (CESAO), l’ONG israélienne B’Tselem et l’ONG Human Rights Watch, Amnesty International a publié un rapport qui parvient à la même conclusion : l’État d’Israël a instauré un régime d’apartheid. Ce rapport établit que tous les Palestiniens sont à des degrés divers victimes de cet apartheid. Il est temps qu’Israël se conforme aux règles du droit international, aucune nation ne peut continuer à agir en toute impunité sans réaction de ses paires !
Depuis plusieurs années, nous nous réunissons chaque deuxième vendredi du mois devant l’ambassade israélienne pour continuer à soutenir le peuple palestinien et protester contre l’impunité dont bénéficie Israël.

L’État d’Israël occupe et colonise le territoire palestinien conquis par la force depuis 56 ans et discrimine gravement les Palestiniens, même ceux qui disposent de la citoyenneté israélienne.
Après la Commission économique et sociale des Nations unies pour l’Asie Occidentale (CESAO), l’ONG israélienne B’Tselem et l’ONG Human Rights Watch, Amnesty International a publié un rapport qui parvient à la même conclusion : l’État d’Israël a instauré un régime d’apartheid. Ce rapport établit que tous les Palestiniens sont à des degrés divers victimes de cet apartheid. Il est temps qu’Israël se conforme aux règles du droit international, aucune nation ne peut continuer à agir en toute impunité sans réaction de ses paires !
Depuis plusieurs années, nous nous réunissons chaque deuxième vendredi du mois devant l’ambassade israélienne pour continuer à soutenir le peuple palestinien et protester contre l’impunité dont bénéficie Israël.